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Vulgariser l'histoire et le patrimoine par l'image



On sait combien l'histoire et le patrimoine jouent un rôle important dans la formation des identités collectives. Combien ils permettent de réfléchir, de se situer et de nourrir une analyse critique du monde contemporain. Vannina Micheli-Rechtman, psychanalyste et philosophe, échange avec Dominique Lanzalavi, journaliste et documentariste, sur la nécessaire vulgarisation de ces éléments et sur le rôle de l’image dans cette quête.



Photogramme extrait du film We Corsicans, 2017
Photogramme extrait du film We Corsicans, 2017
Vannina Micheli-Rechtman : Comment devient-on documentariste ?

Dominique Lanzalavi : Après l’obtention d’une maîtrise d’histoire à l’Université de Côte d’Azur de Nice et d’un DESS de Management de la Communication à l'IAE Aix-Marseille, j’ai immédiatement travaillé dans l’audiovisuel à Paris. J’ai débuté par un stage de fin d’étude durant lequel j’ai eu chance de participer au lancement de la chaîne Histoire. Je suis ensuite passé à l’INA - Institut National de l’Audiovisuel - où j’ai intégré l’équipe du Festival Imagina qui était le rendez-vous annuel en Europe du milieu de l’image animée et de l’image de synthèse organisé en partenariat avec le Festival de Télévision de Monte-Carlo. J’ai ensuite rejoint la chaîne M6 avant de devenir journaliste et chroniqueur Histoire au Magazine de la santé sur France 5 auprès de Michel Cymes et Marina Carrère d’Encausse. Au bout de plusieurs années passées dans cette équipe, j’ai souhaité me lancer dans la réalisation de documentaires.
 
VMR : Depuis ton cursus d’histoire, tu t’intéresses aux évènements politiques en Corse, et particulièrement à l’époque de la Seconde guerre mondiale, c’est pour ça que tu es revenu vivre en Corse ?

DL : Après avoir vécu une dizaine d’années à Paris, j’ai eu le mal du pays comme on dit et je voulais par ailleurs revenir à mes sujets de prédilection que tu évoques. Je suis donc rentré en Corse. J’ai alors collaboré à plusieurs émissions de France 3 Corse ViaStella avant d’intégrer l’équipe de la case Ghjenti consacrée aux documentaires en langue corse pour laquelle j’ai réalisé plusieurs films traitant de sujets historiques et puis, pour différentes raisons, j’ai continué à faire la même chose mais en tant que documentariste indépendant. Cela fait donc plus d’une quinzaine d’années que je me consacre au documentaire d’histoire avec une prédilection pour les thèmes politiques, sociétaux et musicaux ou encore les portraits.
 

Pourquoi faire des documentaires ?

VMR : Le film documentaire ou le documentaire est une approche particulière qui a une longue histoire très reconnue aujourd’hui. C’est un genre cinématographique audiovisuel, télévisuel et radiophonique parfois nommé « images du réel » qui se différencie de la fiction. Mais un documentaire peut reprendre certaines caractéristiques de la fiction, notamment via la reconstitution avec un scénario préalable donc une écriture.
D’ailleurs, durant la Seconde guerre mondiale, de nombreux documentaires furent réalisés par des réalisateurs de fiction reconnus, anglais ou américains, comme Frank Capra ou John Ford, Et au début du XXIe siècle, aux USA, par exemple le documentariste Michael Moore connaît un succès commercial mondial, avec son film Fahrenheit 9/11  sur les trucages électoraux de Georges W. Bush ou  Bowling for Colombine, un documentaire-fiction sur les tueurs en série adolescents de la fusillade du lycée Colombine en 1999. Qu’apporte selon toi le travail documentaire par rapport au livre par exemple ?

DL : A moins d’être un auteur à succès, ce qui n’est malheureusement pas mon cas, l’avantage du documentaire réside avant tout dans sa diffusion qui reste le plus souvent bien plus large que celle d’un livre. La télévision permet de toucher le grand public et de s’adresser ainsi aussi bien aux personnes qui sont déjà intéressées par l’histoire qu’à celles qui ne le sont pas forcément.
C’est donc avant tout une volonté de vulgarisation qui m’anime, même si je ne trouve pas ce mot très élégant. Il s’agit de tenter de ramener dans la lumière des sujets et des personnages parfois oubliés ou connus des seuls spécialistes ou bien, parfois, de chercher à porter un regard inédit sur quelque chose de déjà connu.

Ecrire et réaliser un documentaire représente également un exercice de narration spécifique, avec un format prédéfini, souvent 52 minutes ou 90 et un langage qui ne s’appuie pas seulement sur l’écriture ou le commentaire mais qui utilise également l’image, des archives, des illustrations, du son et la musique comme vecteurs d’expression d’une pensée. Cela permet par ailleurs de donner à voir et à entendre des analyses de spécialistes et des témoignages de protagonistes ou de personnes touchées par l’histoire que l’on raconte, ce qui rajoute de l’humanité au récit et bien souvent de l’émotion.
Mais il y a bien évidemment un inconvénient dans le documentaire par rapport au livre qui est la limitation du format qui ne permet pas de développer autant les idées que dans l’écrit. C’est la raison pour laquelle j’ai parfois complété un film par un ouvrage qui me permettait d’aller plus au fond des choses.
 
VMR : Peux-tu nous parler des différents documentaires que tu as réalisés ?
 
DL : Il y a peu de temps, j’ai réalisé et co-écrit avec l’historien Jean-Paul Pellegrinetti et le journaliste Sampiero Sanguinetti deux films intitulés Corse-France, toute une histoire pour France 3 Corse ViaStella et Public Sénat dans lesquels nous retraçons la façon dont la Corse a intégré la sphère française et les rapports qu’elle a entretenu depuis avec les différents régimes qui se sont succédé à la tête de l’Etat.
J’ai réalisé plusieurs films sur la Seconde guerre mondiale en Corse. Le laboratoire corse sur les confrontations politiques au lendemain de la libération. Nom de code : Léo qui donne la parole à Léo Micheli, dernier survivant des responsables de la Résistance insulaire. We Corsicans co-écrit avec l’éditeur Bernard Biancarelli et Dominique Taddei qui revient sur l’histoire de la présence des Américains en Corse durant la Seconde guerre mondiale et le colossal travail de mémoire qui a été mené par Dominique et ses amis.
Je me suis également intéressé aux parcours de certains personnages hors du commun comme Lucien Bonaparte, le frère rebelle de Napoléon qui a joué un grand rôle dans son histoire avant d’oser s’opposer à lui en raison de divergences politiques mais surtout pour l’amour d’une femme. J’ai consacré un film et un livre à la légende du barreau parisien, Vincent de Moro Giafferri.
Je me suis penché sur les élites politiques corses de la Troisième République qui ont joué un rôle de premier plan au niveau national durant l’entre-deux guerres comme Adolphe Landry, César Campinchi ou François Pietri.
Avec Emmanuel Bernabeu-Casanova nous avons travaillé, dans un film intitulé Quand on parlait Corse à Saïgon, sur la présence historique des Corses en Indochine.
Enfin, étant issu d’une famille de musiciens, j’ai toujours été attiré par ce domaine. Dans le film A Mandulina d’Ange j’ai retracé le parcours de mon cousin germain Ange Lanzalavi, un virtuose et compositeur de grand talent. J’ai poursuivi plus tard par le film Au temps des Guitares qui revenait sur l'histoire de la chanson corse dans la seconde partie du XXe siècle. Un sujet que j’ai développé dans l’ouvrage Cabarets corses. Au temps des guitares.
 

Jamais loin de l’historien

VMR : Tes films sont donc souvent centrés sur l’histoire de la Corse, parfois des épisodes assez méconnus, mais aussi sur des personnages corses emblématiques ?
 
DL : Je me suis surtout intéressé à l’histoire des Corses ou à des histoires de Corses. J’ai toujours été davantage attiré par les histoires humaines que par l’histoire événementielle ou militaire. La Corse a donné une multitude de personnages incroyables qui ont connu des destins dignes de romans aussi bien dans l’île que sur le continent ou à l’étranger. J’ai parfois voulu retracer ces parcours en m’intéressant en particulier à ceux qui me fascinaient par leur courage, leur ténacité, leur engagement, leurs talents et surtout leur humanité.
Mais, au-delà de ces personnages, les évolutions de la société insulaire ont également constitué une grande part de mon travail. Avec une prédilection, depuis mes études, pour l’histoire contemporaine qui permet de mieux comprendre la Corse d’aujourd’hui. Les périodes plus anciennes sont également passionnantes avec cependant davantage de difficultés pour les illustrer dans un documentaire.
 
VMR : Tu as réalisé notamment un documentaire sur l’un des dirigeants de la résistance corse pendant la Seconde guerre mondiale Léo Micheli, intitulé Nom de code : Léo. Comment as-tu eu cette idée et qu’est ce qui t’a intéressé dans cette période de la Résistance en Corse et dans ce personnage que tu as si bien mis en lumière ?
 
DL : J’ai eu la chance de faire la connaissance de Léo il y a une trentaine d’années lorsque j’effectuais des recherches pour ma maîtrise d’histoire consacrée aux confrontations politiques entre les communistes et leurs adversaires au lendemain de la libération de l’île. L’historien Ange Rovere m’avait alors conseillé de rencontrer Léo, tout comme mon ami Iannis Roder qui venait de consacrer sa maîtrise d’histoire au parti communiste en Corse durant la Seconde Guerre mondiale. À cette époque, la plupart des responsables de la Résistance insulaire avaient déjà disparus. Sa vision des choses était donc d’autant plus précieuse.
Grâce aux travaux d’Ange Rovere et de Iannis Roder et en discutant avec Léo, j’ai alors pris conscience du niveau de responsabilité qui avait été le sien dans la Résistance et du rôle majeur qu’il avait occupé dans ce qui a été l’une des plus belles pages de l’histoire de la Corse qui est devenue, grâce au courage de résistants comme lui, le premier morceau de France libéré comme l’a dit le général de Gaulle.
Mais son action ne s’est pas arrêtée là. Il a par la suite été mobilisé pour participer à la libération de la France avant d’être appelé à Paris au Comité central du parti communiste où il est devenu le conseiller de Jacques Duclos, alors l’un des principaux dirigeants du parti. Et puis, après le rapport Khrouchtchev, il s’était prononcé pour un examen de conscience de la part du PCF et une nouvelle orientation politique, ce qui lui avait valu d’être démis de ses fonctions. Il avait donc mille choses à raconter, aussi bien sur la Résistance corse que sur le parti communiste et la guerre froide.
 
VMR : Après ces premiers échanges, comment êtes-vous devenus amis ?
 
DL : Lorsque j’ai réalisé mon premier documentaire Le laboratoire corse qui revenait sur les questions politiques qui se sont posées en Corse au lendemain de la Libération, je lui ai bien évidemment demandé de participer. Il a gentiment accepté de donner son analyse sur ces questions mais sans jamais trop s’étendre sur sa propre action dans la Résistance car il préférait parler de l’action collective du Front national, l’organisation qui rassemblait les Résistants corses et qui avait été fondée par le Parti communiste.
Or, Léo, qui était rentré au parti communiste à l’âge de quinze ans en 1938, est devenu durant la Seconde guerre mondiale le responsable des Jeunesses communistes, du Front patriotique des jeunes, qui en était la branché armée, avant de devenir, à seulement vingt ans, l’un des dirigeants du parti communiste et de la Résistance insulaire. Pourtant, seuls ses camarades et un petit nombre de personnes connaissaient cette histoire. En premier lieu les historiens que j’ai cités ou encore Sylvain Gregori qui a consacré sa thèse d’histoire à la Résistance corse.

Toujours porté par cette volonté de ramener dans la lumière ce que l’on a tendance à oublier, je me suis dit qu’il fallait absolument rappeler aux Corses qui était vraiment Léo Micheli qui cultivait depuis des décennies l’art de la discrétion. Il m’apparaissait également indispensable de lui demander de nous faire part de sa vision des choses car cette histoire avait été racontée par d’autres et il était le dernier survivant des principaux dirigeants.
Je dois dire que j’avais également beaucoup d’affection pour Léo qui était un personnage très attachant. Un homme de culture, d’une intelligence exceptionnelle et d’une force de caractère unique mais qui faisait en même temps preuve d’une grande humanité, d’une impressionnante humilité et d’un sens de l’humour aiguisé. Il y avait beaucoup de complicité entre nous. Malgré l’écart d’âge qu’il avait avec moi, il me parlait toujours avec le plus grand respect et me demandait souvent mon avis sur ce qu’il disait ou sur certains faits alors qu’il en savait mille fois plus que moi sur le sujet. Mais je sais qu’il était comme cela avec la plupart de ses interlocuteurs et notamment avec les plus jeunes avec lesquels il aimait échanger ce qui était la marque d’une grande jeunesse d’esprit.

Nous nous sommes donc liés d’amitié. Mais malgré cela, j’ai tenté sans succès durant des années de le convaincre de raconter son histoire dans un documentaire. Il ne voulait pas parler car, disait-il, il n’avait plus de contradicteurs et il ne voulait surtout pas mettre en avant son action individuelle car il considérait qu’il avait agi au nom d’un collectif. Je lui ai alors dit qu’il était indispensable qu’il parle justement parce que les autres n’étaient plus là, notamment tous ses camarades tombés sous les balles ennemies. Car je ne souhaitais pas seulement qu’il donne sa vision et rétablisse certaines choses comme, par exemple, la façon dont l’insurrection du 9 septembre 1943 avait été décidée et préparée bien en amont. Je voulais également comprendre, à travers son parcours, comment ses camarades et lui s’étaient engagés si jeunes dans l’action au péril de leur vie. Et nombre de ses amis l’ont malheureusement perdue. Lui-même a d’ailleurs plusieurs fois failli se faire arrêter.
Après des années de discussion, Léo a finalement accepté de parler et nous avons donc fait ce film Nom de code : Léo alors qu’il avait déjà près de 90 ans. Le titre était une référence à son pseudo dans la Résistance que tout le monde a continué d’utiliser par la suite alors que son vrai prénom était Etienne. C’était déjà une grande chance d’avoir son témoignage dans ce film. Mais, comme je le disais auparavant, le format d’un documentaire ne permet pas de développer une pensée aussi riche que celle de Léo. Des années plus tard, nous avons décidé d’aller plus loin à travers un livre d’entretiens En homme libre paru aux éditions Albiana en 2020, une année avant la disparition de Léo en août 2021.
 

S'emparer aussi du patrimoine

VMR : Tu réalises aujourd’hui la série documentaire Trésors du patrimoine corse diffusée sur France 3 Corse ViaStella. Quel est ton objectif ?
 
DL : L’objectif de cette série documentaire est de faire découvrir la richesse et la diversité du patrimoine de la Corse à travers différentes thématiques traitées le plus souvent de façon chronologique à l'aide d'exemples répartis sur l'ensemble de l'île qui sont décryptés par des spécialistes et des passionnés.
Nous avions la volonté, avec la directrice des antennes de France 3 Corse ViaStella, d’avoir cette approche un peu différente du patrimoine. La plupart des programmes existants au niveau national se concentrent surtout sur la présentation d’une ville ou d’une microrégion en abordant différents aspects du patrimoine local. Nous pensions que l’approche thématique permettrait de retracer les évolutions dans le temps des domaines traités en faisant le lien entre différents lieux et en montrant de cette façon ce qui pouvait se passer au même moment sur l'ensemble du territoire, ce qui permet de dégager des points communs ou au contraire des différences. Nous avons, par exemple, abordé les fortifications, les belles demeures, le patrimoine public, le patrimoine industriel, les églises et les couvents. D’autres thèmes sont à venir.
Il s’agit donc de raconter l’histoire de ces lieux, de ces édifices et de ces œuvres qui témoignent des évolutions de la société insulaire, de sa culture, de sa vie politique, de son économie et de ses savoirs faire. Mais également de montrer la fragilité de la plupart de ces merveilles soumises aux outrages du temps et parfois au pillage et qui ne doivent leur survie qu’à l’action acharnée de pouvoirs publics, de collectivités, d’associations et de particuliers que nous souhaitons aussi mettre en avant.
 
VMR : Tu avances l’idée très intéressante me semble-t-il de promouvoir en Corse un tourisme autour du patrimoine et de la Culture, peux-tu nous préciser ton point de vue ?
 
DL : Je ne suis pas un spécialiste du secteur touristique ni un économiste et je n’ai surtout aucune leçon à donner. Mais je me suis intéressé à cette question en développant il y a quelques années avec des amis une application numérique destinée à faire découvrir le patrimoine corse aux enfants. Un projet qui avait été soutenu par l’incubateur de Corse Inizià. Puis en participant au lancement de formations sur le patrimoine avec l’Afpa de Corse pour les salariés en contact avec des visiteurs.
J’ai alors acquis l’intime conviction, avec d’autres, que le tourisme patrimonial et culturel était certainement l’une des plus belles voies de développement pour la Corse. En premier lieu parce que le tourisme représente déjà une part très importante de l’économie insulaire et que le tourisme culturel est à la fois un axe vertueux mais également une source de revenus plus importante que le tourisme de masse car il a été démontré qu’un touriste culturel dépense davantage. Un article du Figaro intitulé « Le tourisme culturel dynamise les Régions » estimait il y quelques années qu’en France le poids de ce secteur représentait plus de 100 000 emplois et 15 milliards d’euros de retombées économiques.
D’autre part, une étude de l'Organisation Mondiale du Tourisme avançait que le tourisme culturel était l'un des segments qui allait connaître la plus forte croissance dans les vingt prochaines années avec une marge de progression d’au moins 20%. Le fait que la France soit le pays le plus visité et que Paris demeure la première destination touristique mondiale prouve bien qu’il existe une forte appétence pour la Culture et le patrimoine.
L’Italie a également affiché il y a une dizaine d’années une politique volontariste dans ce domaine. Après les années Berlusconi durant lesquelles les crédits consacrés à la Culture et au patrimoine avaient été sacrifiés, le premier ministre Matteo Renzi avait pris le contrepied en affichant une réelle volonté politique basée sur la conviction que la Culture était la grande force de l’Italie. Il avait alors regroupé les ministères de la Culture et du Tourisme sous la gouvernance de Dario Franceschini qui avait mis en place un plan stratégique pour le Tourisme.
Le tourisme culturel offre donc à la fois des avantages économiques, mais aussi sociaux et environnementaux car il est considéré comme une forme de tourisme durable. Enfin, il permet de développer des projets innovants car aujourd’hui les nouvelles technologies sont devenues incontournables dans le tourisme culturel et patrimonial.
Dans tous ces domaines, la Corse a une magnifique carte à jouer avec, en plus d’un patrimoine naturel exceptionnel, une riche histoire faite d’événements et de personnages fascinants ainsi qu’un patrimoine matériel et immatériel qui font sa spécificité et qui peuvent attirer de nouveaux publics.
 
VMR : Quels sont tes nouveaux projets ?
 
DL : La série Trésors du patrimoine corse est tellement prenante que j’ai pour l’instant dû mettre de côté d’autres projets que je souhaite développer à l’avenir lorsque j’aurai davantage de temps. Mais je continuerai toujours dans la même voie en m’intéressant à l’histoire et à certains personnages qui l’on marquée. Le rêve ultime étant un jour de pouvoir mettre en œuvre une fiction historique. J’ai depuis longtemps quelques idées de sujets mais cela demande beaucoup de temps.
 
 
 
Samedi 2 Mars 2024
Vannina Micheli-Rechtman & Dominique Lanzalavi


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